Les 8 types de dindes les plus populaires

Originaire d'Amérique, elle a été introduite en Europe après la découverte du continent. Domestiquée depuis plus de 2 000 ans par les Mexicains, il existe une variété d'espèces au-delà de la dinde commune et du paon.
Les 8 types de dindes les plus populaires

Dernière mise à jour : 12 juillet, 2018

La dinde est un oiseau mondialement connu. Sa viande, bien que considérée par certains comme n’ayant aucun goût, est la meilleure vente à Noël. En conséquence, l’élevage de dindes s’est répandu dans le monde entier. Vous savez quel type de dinde existe-t-il? ? On va vous en parler !

Quels types de dindes existe-t-il?

Il y a certainement deux espèces que vous connaissez déjà, la dinde commune et le paon, mais ce ne sont pas les deux seules espèces de dindes. Il y en a plusieurs que nous aimerions vous présenter aujourd’hui.

Le dindon bronzé

Ce type de dindon – l’image en haut de l’article – est très semblable au dindon sauvage, sauf qu’il est beaucoup plus gros. En fait, il peut peser jusqu’à 15 kilos, une taille qui ne rentre dans aucun four à Noël.

Ses ailes sont blanches, sa queue est noire et il a le cou et la tête dans des tons rougeâtres – un arc-en-ciel de plumage !

Blanc de Hollande

Comme son nom l’indique, la plus grande partie de son plumage est blanche et a peu de taches d’autres plumes qui brisent cette uniformité. Sa tête semble être complètement attachée à sa gorge et les deux ont une couleur rouge foncé.

Source: https://veterinariosos.blogspot.com.es

Race noire

Contrairement à la dinde blanche, celle-ci est entièrement noire. Sa couleur est brillante, presque métallique, avec un reflet verdâtre qui la caractérise. C’est peut-être l’une des races qui ressemble le plus à la dinde commune, la plus connue de toutes.

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Rouge de Bourbon

Cette race a aussi un mélange explosif de couleurs. Son corps est brun chocolat avec un plumage brillant, dans lequel se détache le plumage blanc de ses ailes et de sa queue.

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Sa petite tête avec un long bec et un cou et un fanon rouge profond n’est pas en proportion avec le reste du corps, qui ressemble à un pompon géant.

Blanc de Beltsville

Ces dindes pèsent environ huit kilos, sont très saines et ont un système immunitaire fort contre les maladies. Cela en fait l’une des dindes les plus populaires à manger.

Il a une grande capacité de reproduction, puisqu’il est capable de pondre environ 158 oeufs par saison de ponte, dont 70% éclosent. Incroyable!

Bronzé géant

Cette variété de dinde est capable d’atteindre le poids de 20 kilos. Il se caractérise par sa double poitrine, qui est gigantesque, comme vous pouvez l’imaginer. Sa petite queue en forme d’éventail a la même couleur uniforme de plumage, qui est généralement marron.

Source: http://fmvzequipo4.blogspot.com.es/

Les bords des plumes sont grisâtres et la partie supérieure du cou a une couleur pourpre qui se détache du reste en rouge.

Blanc géant

Il peut aussi peser entre 15 et 20 kilos. Curieusement, son plumage peut varier de tons dorés à blanc pur. Cependant, ce dernier fut mieux accepté et plus tard, le doré fut rejeté pour donner naissance à une race blanche.

Source: https://veterinariosos.blogspot.com.es

Celui-ci a été choisi parce que les plumes blanches font que l’animal a moins d’imperfections cutanées. Les consommateurs de cette viande ont tendance à beaucoup plus l’accepter.

Ardésie

La couleur de son plumage est habituellement grise, bien qu’un peu moins de la moitié soit blanche. Concernant son cou, il est rouge et sa tête est bleue.

Source: https://www.backyardchickens.com

On remarque une ligne verticale qui marque clairement les deux couleurs, le gris et le blanc. C’est comme s’il s’agissait d’un dessin de la nature.

Il est curieux de constater que, bien qu’il existe de nombreuses races de dindes, celles qu’on utilise normalement pour l’alimentation sont celles des éleveurs, qui sont généralement des hybrides artificiels. La plupart d’entre eux sont d’origine néerlandaise.


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  • Camacho-Escobar, M. A., Jiménez-Hidalgo, E., Arroyo-Ledezma, J., Sánchez-Bernal, E. I., & Pérez-Lara, E. (2011). Historia natural, domesticación y distribución del guajolote (Meleagris gallopavo) en México. Universidad y ciencia, 27(3), 351-360.

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